Notre séjour à Osaka fut court, à peine trois jours. Il n’en fallait pas plus pour s’apercevoir qu’à Osaka, manger, constitue l’une des principales activités. Le nombre de restaurants au kilomètre carré y est impressionnant. Restaurants de Fugu (le poisson qui empoisonne !), de poulpes ou encore de crabes, on en croise de toutes les sortes de toutes les tailles et à tous les coins de rue. Les restaurants de takoyaki (beignets farcis aux poulpes) et d’okonomiyaki sont les plus populaires.

Osaka ne brille pas par sa richesse patrimoniale, il y a bien un château « médiéval » mais ne vous y trompez pas il a été reconstruit en béton dans les années 1930.

L’architecture des années 80 et 90 est prédominante, nous avons vu d’impressionnantes tours de bureaux et d’habitations. Osaka est un nœud de communication extraordinaire : des voie ferrées sont superposées les unes sur les autres et des autoroutes aériennes traversent la ville et parfois même les immeubles, regardez !

Osaka est particulièrement surprenante le soir lorsque des hordes de jeunes aux looks excentriques envahissent le quartier de Dombori au sud de la ville. Les bars, les boutiques, les restaurants, les salles de pachinko forment un joyeux chaos sous la lumière des néons. Il parait que dans de nombreux bars les serveuses, plus rarement les serveurs, sont en maillot de bain ou en petite tenue, mais nous n’avons pas testé !

Nous avons mangé nos dernières Zaru Udon ici mais nous ne nous sommes pas risqués aux huitres chaudes de Paul Bocuse !

Nous quittons le Japon sur ces images colorées et animées, et maintenant à nous la Chine, à nous Beijing. On vous raconte cela très vite, grâce à l’aide de notre webmaster de choc (la maman de Thomas !) si l’utilisation de wordpress est toujours limitée en Chine.

Joyeux noël d’Osaka et Matane !