Projet de voyage

GaTo,  à la rencontre des cuisines de rue d’Asie

GaTo c’est le Gastronomic Tour de Gabrielle Montredon et Thomas Ribet, deux passionnés de cuisines asiatiques et de cuisine de rue. Nous préparons ce voyage depuis plusieurs années, peu à peu le projet s’est affiné. Partir découvrir la cuisine de rue des pays de l’est de l’Asie : Japon, Chine, Vietnam, Laos, Cambodge, Thaïlande et Birmanie. La cuisine de rue ce n’est pas seulement la gastronomie. Les restaurants et les bars de rue en Asie racontent un pays et une culture, ce sont des lieux populaires et authentiques qui construisent une ville en occupant la rue, ce sont des lieux de rencontres et de discussion, ce sont également des systèmes architecturaux ingénieux pour préparer et servir à manger (des architectures mobiles, du mobilier et des techniques pour emporter la nourriture souvent écologique ou de récupération). Evidemment le moteur du projet reste la cuisine qui nous fait rêver.

 Qui sommes nous?

Gabrielle par Thomas :     

Gabrielle est une gourmande voyageuse.

Voyageuse car elle aime découvrir le monde qui l’entoure, en voyageant autour du globe ; du  Guatemala à l’Inde en passant par la Chine ou les Etats-Unis, mais également en voyageant dans sa ville, son quartier ou au coin de sa rue. Rue qu’elle n’aime pas seulement découvrir et parcourir mais également analyser et reconstruire par ses études d’architecture, d’urbanisme et son métier d’urbaniste. Le voyage c’est également la rencontre et pour cela pas de problème Gabrielle a le contact facile et adore rencontrer des gens. Partager et discuter est une véritable passion chez elle, même quand on ne parle pas la même langue, en Chine ou en Inde, elle arrive à faire des rencontres et à partager des moments, des repas, des bouts de chemin.

Gourmande car la gastronomie au sens large et la cuisine font partie intégrante de sa vie, Gabrielle est une découvreuse de recettes et de restaurants avec une prédilection pour les cuisines asiatiques. Mais la gourmandise n’est pas un plaisir solitaire, la gastronomie se partage en préparant ensemble, en cuisinant pour les autres, en dégustant et surtout en passant un moment convivial à manger ensemble.

Thomas par Gabrielle :   

Diplômé d’un Master en Histoire de l’architecture, Thomas est curieux, jovial et entreprenant.

En dehors de l’architecture, il s’intéresse à beaucoup de choses notamment à la cuisine. Mais la cuisine n’est elle pas une forme d’architecture à l’échelle de l’assiette, du bol ou de la brochette ?

Son intérêt pour la cuisine s’est développé au fil de ses rencontres mais également au fil des voyages. Lorsque Thomas rentre d’un voyage en France ou à l’étranger il se documente sur ce qu’il a goûté par l’achat de livres de cuisine ou d’ustensiles spécialisés.

De la Nouvelle Calédonie où il passe ses premières années, il ne garde pas de souvenirs précis mais seulement quelques réminiscences gustatives et olfactives liées à la gastronomie locale : fruits exotiques et fruits de mer constituaient ses mets préférés.

Si Thomas est gourmand (évidemment) ce n’est pas l’unique  raison de son amour pour la cuisine. Partager un repas sur le pouce ou attablé c’est également une façon de découvrir l’autre et d’échanger en France comme à l’étranger.

 A l’origine du projet :

 D’où nous est venue l’idée de partir plus loin, plus longtemps et surtout plus en profondeur à la découverte de la gastronomie asiatique? C’est sûrement en Inde ou en Chine durant nos précédents périples. En tout cas, nous mûrissons cette idée de récolter et de partager des recettes et des plats depuis longtemps. Le surnom de GaTo, pour Gabrielle et Thomas, n’est pas notre invention mais il s’est imposé facilement auprès des personnes qui nous connaissent tant la cuisine est importante pour nous. Mais pour nous avec GaTo s’impose vite l’idée d’un Gastronomic Tour.

L’Asie s’impose comme destination, nous sommes tous les deux passionnés par ce continent la richesse de son histoire, de sa culture et de sa gastronomie. Nous aimons cuisiner des recettes asiatiques (principalement japonaises, chinoises, indiennes et vietnamiennes)  grâce aux nombreux livres de cuisine que nous possédons mais également grâce à des échanges avec des amis. Nous connaissons bien les cuisines d’Asie à Paris, même dans les petits restaurants les plus reculés. Mais c’est lors de notre voyage en Chine que nous nous sommes rendu compte de la richesse de la gastronomie chinoise et surtout de l’importance de la nourriture, de la cuisine et des repas dans la vie quotidienne. Nous avons voyagé presque un mois et demi dans le nord et l’ouest de la Chine et nous avons tous les jours fait des découvertes culinaires, en revenant, nous avions un petit goût de trop peu malgré la richesse de nos découvertes.

L’idée de la cuisine de rue plutôt que la gastronomie en règle générale vient de différents éléments. Premièrement nous aimons découvrir les cuisines populaires et authentiques, et en Asie c’est dans la rue qu’on la trouve. Ensuite, lors de nos voyages nous avons pris l’habitude de tester la gastronomie que l’on trouve dans la rue et l’on s’est rendu compte que le contact avec le cuisinier ou le vendeur et avec les autres consommateurs est beaucoup plus important et facile que dans un restaurant classique. Enfin, dans la cuisine de rue il n’y a pas que la cuisine qui est impressionnante mais également la façon dont elle investit la rue et la ville, la façon dont elle fait vivre la rue, sans oublier la multitude de systèmes ingénieux pour créer des cuisines ambulantes ou ouvertes sur la rue mais également la diversité  des moyens et des ustensiles pour consommer les mets.

Notre itinéraire

 Notre voyage se déroule sur sept mois. Nous partons pour Tokyo le 1er octobre 2011. Arrivés à Tokyo, nous descendrons vers le sud jusqu’à l’île de Shikoku en passant par Kyoto et Osaka. Sur Shikoku, à coté de Takamatsu, nous ferons du Wwoofing, ce mode d’hébergement nous permettra de découvrir une exploitation agricole japonaise axée sur la production de plusieurs produits essentiels à la gastronomie locale comme par exemple le Shōyu (sauce soja). Nos journées s’organiseront en fonction du travail sur l’exploitation mais nous disposerons également de temps libre pour partir à la découverte des alentours et des spécialités locales. Après 3 semaines de Wwoofing, nous irons jusqu’à Kobe. De là nous prendrons le ferry pour rejoindre la Chine par Shanghai. Nous resterons environ 1 mois au Japon.

A partir de Shanghai nous nous dirigerons vers Xi’An afin de réaliser une boucle passant par Chengdu et la région du Sichuan, réputée pour sa cuisine épicée, le Guangxi, le Guangdong et enfin Hong-Kong. Durant notre voyage en Chine nous serons accueillis sur certaines étapes par des amis chinois et leur famille notamment à Xi’An et Chengdu. Nous resterons entre 2 et 3 mois sur le territoire chinois.

Nous visiterons par la suite Hanoï et le nord du Viêt-Nam avant de rejoindre le Laos. Au Laos nous parcourrons les rives du Mékong du nord au sud afin de rejoindre la Cambodge. A Phnom Penh la belle-famille cambodgienne d’une amie nous hébergera et nous guidera dans la découverte des spécialités de rue. Nous passerons ensuite par la Thaïlande avant de rejoindre la Birmanie par les frontières terrestres si celles-ci sont ouvertes. Si cela n’est pas possible nous prendrons un vol Bangkok-Rangoon. En Thaïlande, nous souhaitons principalement découvrir Bangkok et le nord du pays.

Enfin nous prendrons un vol retour Bangkok/Paris aux alentours du mois de mai.

 Nos objectifs :

Le thème de notre voyage s’organise autour de trois axes principaux :

-Découverte des cultures locales par la cuisine de rue.

-Découverte des dispositifs de cuisines ambulantes : architectures mobiles, méthodes et ustensiles                   pour consommer.

-Considérations urbaines : la cuisine mobile une façon d’investir l’espace public ?

1. Cuisine de rue et cultures locales

La cuisine de rue n’est pas synonyme de cuisine fast-food. Les produits sont généralement frais et sont parfois préparés bien avant d’être servis. Notre intérêt pour la cuisine de rue est lié à l’idée de partager un moment de qualité culinaire, d’authenticité culturelle et de convivialité. La cuisine de rue est une véritable tradition culinaire en Asie. Du Japon à l’Inde, on mange sur le pouce, debout ou accroupi, à plusieurs ou en solo, il s’agit d’une pause avant de repartir. Les cuisines ambulantes reflètent un mode de vie et une culture.

Notre objectif sera de découvrir des traditions locales à travers cette cuisine populaire et peu onéreuse et surtout de récolter des recettes.

2. Cuisine ambulante, architectures mobiles.

La cuisine de rue, ou la « street food » comme certains magazines se plaisent à l’appeler, n’est pas un concept nouveau. Il s’agit d’une cuisine de tradition séculaire, elle existe sur tous les continents et sous des formes très variées. Beaucoup de cuisines mobiles sont identifiables : roulotte, bicyclette aménagée, chariot… mais il existe de nombreuses autres installations ingénieuses, il nous paraît intéressant d’essayer de les recenser au cours de notre voyage. De même les méthodes pour servir et manger (brochette, assiette en feuille de bananier, feuille de journal, bol réutilisable, peau des fruits…) nous intéressent beaucoup.

Ces architectures mobiles inspirent notamment un certains nombre d’artistes ou acteurs de la ville qui tentent de créer un dialogue avec l’espace public. L’Atelier Bow-Wow a ainsi réalisé une cuisine mobile à partir d’une remorque permettant à plus d’une dizaine de personnes de déjeuner ensemble.

 De façon plus générale, cet engouement pour les cuisines mobiles est également visible par la volonté que certains cuisiniers ont de réintroduire la cuisine de rue en France (Thierry Marx) afin de proposer une offre culinaire de qualité (autre que le fast-food) adaptée aux nouveaux modes de vie.

 3. Cuisine de rue et espace public

Nos formations d’urbaniste et d’historien de l’architecture nous donnent une vision aigüe de l’utilisation de l’espace public. Pour nous, la cuisine de rue est une possibilité de regagner l’espace public. Dans plusieurs pays d’Asie la rue est un espace à part entière que l’on s’approprie, on y reste, on y attend, on s’y rencontre sans être obligé de s’attabler à une terrasse. En France, la terrasse est un espace public avec une dimension privée. C’est le seul moyen de pouvoir profiter de la rue. Nous voulons voir comment la cuisine permet à chacun de vivre la ville au quotidien par la fréquentation de la rue. Au-delà de notre simple intérêt, ces recherches participent à nos vies professionnelles futures.

 Notre philosophie du voyage

Dans la mesure du possible nous essaierons d’être au plus près de la vie quotidienne des habitants des pays que nous traverserons. Pour cela nous utiliserons les transports publics locaux, au Japon nous ferons du Wwoofing, en Chine et au Cambodge nous serons accueillis par des connaissances et enfin nous mangerons durant l’ensemble du voyage dans les restaurants de rue populaires. Ceci dit nous sommes totalement conscients de notre situation de voyageurs étrangers. Tout en étant à l’écoute, prêts à partager et ouverts nous resterons à notre place.

 Nos déplacements se feront essentiellement par les transports terrestres locaux et publics. Nous prendrons l’avion uniquement pour l’aller et le retour de notre voyage et pour rejoindre la Birmanie si les frontières terrestres sont fermées. Train, bus, ferry nous permettront de multiplier les rencontres et de découvrir davantage de cuisines de rue notamment lors des multiples arrêts.

Nous avons décidé de faire du Wwoofing au Japon et ceci dès notre arrivée de manière à partager le quotidien d’une ferme et de se familiariser avec le pays. Nous sommes curieux du Wwoofing depuis longtemps. Notre choix s’est porté sur le Japon pour plusieurs raisons ; premièrement le Wwoofing est très développé au Japon par rapport aux autres pays que nous traverserons, deuxièmement voyager au Japon revient cher, ce mode d’hébergement peu donc être relativement intéressant. Nous avons choisi de « wwoofer » dans la région d’Hokkaido qui est très agricole. Ouverts à différentes expériences agricoles, nous aimerions de préférence être accueillis dans une exploitation de préparation de Shōyu. Ce mode d’hébergement nous permettra également de découvrir les environs et les spécialités locales, guidés par notre hôte. Pour une demi-journée travaillée sur l’exploitation nous disposerons d’une demi-journée de temps libre afin de mener à bien notre projet. A plusieurs moments de notre voyage nous serons également accueillis par des habitants locaux (amis et connaissances).

Chaque étape de notre voyage sera précédée d’une recherche  concernant les spécialités culinaires et les produits ainsi que d’une recherche de vocabulaire culinaire par pays. La cuisine de rue apparaît souvent dans les guides de voyages comme une expérience authentique permettant d’accéder aux saveurs originales d’un pays. Il s’agira de les découvrir tout en ayant tenté de réaliser au préalable un recensement des spécialités de rue.

9 comments on “Projet de voyage

  1. Bonjour,
    je viens de découvrir votre blog alors que je cherchais des recettes vietnamiennes (notamment le dessert riz gluant+banane), car je reviens du Viet Nam.
    Merci de nous donner toutes ces recettes; étant aussi allée en Thaïlande et au Cambodge, j’ai hâte de pouvoir tester tout ça.
    Merci!
    Marie

  2. Sabaydii ! Je suis Nicolas de Paksé, sud Laos.
    Pour le plaisir, et parce que j’en avais marre que les guides-papiers disent que Paksé était inintéressante, j’ai bricolé un site pour mieux faire connaître la province de Champassak dans laquelle j’habite depuis 9 ans.
    Je suis en pleine réactualisation du site (si vous y allez avant la mi-août, en ligne ce sera l’ancien site)… et il y a un volet Se Restaurer à Paksé… et voilà je suis tombé sur votre blog, très beau, très pointu… dommage que nous ne nous soyons pas rencontrés à Paksé.
    Alors ce commentaire pour vous remercier… je me suis permis de piquer des photos… et de mettre un lien vers votre blog bien sûr.
    Godspeed you,
    n
    (je suis en France pour quelques mois avec ma fille)

  3. Bonjour Gabrielle (dont j’ai seulement entendu parler, en mal…bien sûr..) et Thomas ! De retour de l’expo du quai Branly, en discutant avec Barbara, j’apprends le thème de votre voyage et l’existence de votre blog. Je l’apprécie beaucoup comme j’ai apprécié la cuisine de rue au long de mon voyage en Thaïlande et Cambodge. J’aime retrouver sur vos photos cette atmosphère familière que vous avez si bien saisie et j’ai plaisir à retrouver des images du Cambodge : le brasero, Kep ….Une question : où peut-on se procurer les graines de tamarinier qui donnent ce goût et cette couleur si caractéristiques aux « thés de rue » thaïe? Ma provision de thé s’épuise….et c’est si bon ! Encore bravo ! Soazig

  4. Salut Christian,

    merci pour ton message, nous sommes encore au Laos pour quelques jours et ce pays est définitivement génial.
    On te donne rapidement nos impressions sur les pays que tu cites mais n’hésites pas à nous écrire si tu à des questions précises.
    Le Vietnam est un pays est magnifique et on y mange vraiment très bien mais il y a beaucoup de touristes et d’expatriés donc pour les contacts avec la population c’est un peu râpés, d’autant plus que le poids de l’histoire du pays se fait bien sentir. Evidemment, c’est une impression personnelle.
    Au Cambodge, les gens sont beaucoup plus accueillants et le contact est plus facile (en dehors de Angkor ou Sihanoukville!). En revanche, le pays est encore truffé de mines donc pour la marche à pied c’est limité.
    Le Laos est vraiment notre pays coup de coeur (c’est le cas de beaucoup de voyageurs rencontrés en chemin). Les laotiens sont très accueillants et le contact est très facile (surtout à la campagne), il y a de nombreuses régions différentes à découvrir notamment à pied (on te conseille les Bolovens et le Sayabouly). Question nourriture, tu retrouves les influences des pays alentours mais c’est vrai que c’est moins varié qu’au Vietnam.
    Pour la Thaïlande, on te donnera notre avis dans quelques semaines mais on peut déjà te dire que question nourriture ça à l’aire géniale mais que le pays est très touristique.

    L’accès le plus facile dans la région en avion, c’est l’aéroport de Bangkok, à partir de là tu peux très facilement rejoindre le Laos et le Cambodge. Même sur peu de temps tu peux facilement faire deux pays à notre avis.

    A plus

  5. Bonjour les voyageurs du bout du monde !
    Suite à l’émission de radio « Allo la planète » dans laquelle vous êtes intervenus je suis allé jeté un p’tit coup d’œil sur votre blog gourmand…En tant que cuistot et trouve le récit de vos pérégrinations des plus originale,c’est une belle manière de découvrir une culture étrangère par l’approche de l’alimentation.
    La chose qu’il est le plus difficile de transmettre c’est le goût,malgré toutes les photos qui peuvent montrer la forme ou la couleurs des divers fruits et légumes que vous nous faîtes découvrir…Alors le mieux c’est d’aller sur place !
    Je projette de passer quelques semaines en Juillet-Août,je sais ce n’est pas le meilleure période mais je n’ai pas le choix…mais je ne sais pas dans quel pays me rendre,Birmanie,Laos,Thaïlande,Cambodge ou Vietnam…et comme je ne dispose pas malheureusement de plus de temps,j’aimerais avoir en quelques mots vos impressions sur ces pays ce qui m’aiderais beaucoup sur mon choix en profitant de votre expérience dans cette région du monde.
    Pour vous orienter et tout vous dire,j’aime la marche car pour ma part, découvrir les petits villages et le mode de vie des gens , les beaux paysages…à pied on a le temps d’apprécier ,je suis curieux de religions notamment de bouddhisme,de nourriture bien sûr mais aussi de connaitre la mentalité en générale des habitants qui fait la différence de ces pays d’Asie qui m’attirent et que j’ai hâte de découvrir.
    Merci de prendre le temps de me répondre et serais très heureux de rester en contact avec vous…
    Quoi qu’il en soit ,je vous souhaite tout plein de bonnes choses dans la suite de votre voyage,
    Amicalement,Christian ( de Rouen )

  6. Magnifique!

    je vais essayer des recettes…

    Bonne fin de voyage et salutations marseillaises,

    PS : Désolé de ne pas avoir pu venir à votre mariage

  7. BRAVO THOMAS et GABRIELLE !!!!!!!

    nous sortons d’un RV (professionnel) avec ton père, mais on a dû parler dix minutes d’assurances, contre 50 sur les nouvelles de la famille et j’ai noté ton adresse ……

    donc un petit coucou de Meulan, continuez bien votre voyage, prenez des provisions d’odeurs de couleurs et de goûts divers …..

    et bonne année !

    mth

  8. Barbara vient de me parler de votre projet et de me donner l’adresse de votre blog que je commence à découvrir à l’instant. Belle aventure fort intéressante.

  9. les oeuf d’oursins c’ est des chadrons en Martinique, mais il faut les cuire au feu de bois et avec un sauce chien, demande a lili la recette bise

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